La Vierge Marie, née pour être la servante de Dieu et être reconnnue par l’Eglise « Sainte Vierge, Reine du ciel et de la Terre ».
Au cours de ce mois, de septembre, nous avons l’occasion de nous pencher sur les fêtes mariales
Le 8 septembre est la fête de la « Nativité » de la Vierge Marie (après celle de Jésus et de Saint Jean-Baptiste), instituée par le Pape Serge 1er en 701. Elle est placée 9 mois après le 8 décembre, fête de la conception immaculée de Marie.
Marie est déjà, dans le plan de Dieu, la Mère du Sauveur. L’Eglise voit d’avance en elle la mère du Rédempteur et la félicite de la glorieuse mission qui va l’associer au salut du monde.
Le 15 septembre Les sept douleurs de la Vierge Marie. Dès la présentation de Jésus au Temple, le vieillard Siméon avait prédit à Marie qu’un glaive de douleur transpercerait son cœur maternel.
Cette prédiction se réalisa d’abord par la fuite en Egypte, puis la douleur de rechercher son Fils pendant trois jours lors du pèlerinage à Jérusalem, la séparation, au début de la vie publique, fut une nouvelle souffrance pour son cœur.
Mais la prophétie de Siméon s’accomplit principalement pendant la Passion : Jésus rencontre sa mère, sur la route qui Le conduit au Calvaire (4ème station du Chemin de Croix),
Marie se présente au pied de la Croix, près de son fils agonisant, enfin, ultime compassion, elle reçoit dans ses bras le corps inanimé de Jésus puis son ensevelissement.
Puisons la foi dans le pardon de nos fautes de la part de Dieu, mais aussi celle de savoir pardonner comme le firent Jésus et Marie en pardonnant aux bourreaux du Golgotha.