Le texte ci-dessous, décrivant les raisons de la quête de ce week-end, nous apporte des explications, des propositions, nous incitant à la réflexion pour que l’Eglise puisse continuer sa mission par ses « Bergers ».

Commençons par remercier Dieu qui nous a donné Dieu « le Bon Berger »

Que ce quatrième dimanche de Pâques connu comme le « dimanche du Bon Pasteur » et depuis soixante ans « la journée mondiale de prière pour les vocations » nous incite à nous mettre en prière, tout au long de la semaine.

Que par ces prières, les nôtres et celles de tous nos frères, nous demandions à Dieu de donner à l’Eglise des missionnaires, des religieuses et des religieux, des prêtres et des évêques qui, dans les pas de Jésus, soient à leur tour des bons bergers.

Ayons confiance dans la prière, Dieu nous entend, tout comme le fœtus peut entendre dès le quatrième mois de développement in utero. Il n’entend pas comme nous entendons mais il reconnaît la voix de ses parents, les intonations.

Cet exemple peut nous aider à approcher le mystère de la relation avec Dieu. Le Christ connaît le Père. Il fait mieux que le connaître, il saisit sa pensée et la fait sienne : celle-ci arrive au Christ telle une voix, douce, nette, claire qui ne s’impose jamais. Cette voix est en quelque sorte la présence même du Père au Fils telle la maman présente à son bébé.

C’est parce que le Christ a une telle relation de proximité avec son Père qu’il peut nous faire connaître qui est vraiment le Père. Cette communion que le Christ peut et veut ce que veut le Père : rassembler tout le troupeau, le protéger et le conduire au bercail.
La voix d Père devient la voix du fils.

Reconnaitrons nous cette voix? Y répondrons nous?